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Titre: Histoire de Mr. Jabot
Auteur: Töpffer, Rodolphe (1799-1846)
Date de la première publication: 1833
Lieu et date de l'édition utilisée comme modèle pour ce livre électronique: Paris: Aubert, [1839]
Date de la première publication sur Project Gutenberg Canada: 15 janvier 2013
Date de la dernière mise à jour: 15 janvier 2013
Livre électronique de Project Gutenberg Canada no 1035

Ce livre électronique a été créé par Rénald Lévesque à partir d'images généreusement fournies par Google Books et par la Niedersächsische Staats- und Universitätsbibliothek Göttingen




Cette production a été réalisée à partir de deux numérisations différentes de la même édition. L'âge avait laissé trop de marques sur chacun des deux documents. Pour parer à cette déficience, les légendes ont été recopiées pour en faciliter la lecture, et les illustrations nettoyées.










Monsieur Jabot se disposant à réussir dans le monde, fréquente les promenades publiques. Mr. Jabot croit devoir prendre une glace au premier café de l'endroit. Après avoir mangé sa glace, Mr. Jabot se remet en position.

Mr. Jabot énonce quelques opinions sur les affaires de Belgique. Mr. Jabot est invité au grand bal, (Raout) de Mme du Bocage. Mr. Jabot s'essaye au pas d'été, et à la chaîne des dames.

Mr. Jabot arrivé au bal, croit devoir présenter ses civilités empressées à Mme du Bocage. Ayant salué, Mr. Jabot se remet en position...

Mr. Jabot croit devoir énoncer quelques mots agréables et galans, à Mlle du Bocage. Mr. Jabot croit devoir causer chasse, avec M. du Bocage le fils aîné. Mr. Jabot croit devoir regarder avec bienveillance, les jeux enfantins du jeune du Bocage, le cadet.

Mr. Jabot énonce diverses pensées et observations sur l'usage du monde, sur les exigences de la civilité, et sur les galopes. Mr. Jabot croit devoir témoigner par sa pose, autant que par un léger jeu de physionomie, qu'il saisit à merveille la pensée d'une dame qui s'embrouille.

Après quoi Mr. Jabot se remet en position. Mr. Jabot énonce d'après les Débats l'inquiétude que lui cause le parti populaire dans un moment où l'Autocrate arrive. Mr. Jabot croit devoir s'éloigher d'un groupe qui lui paraît renfermer une société mêlée.

Ayant apperçu son cousin le Marchand de bas Mr. Jabot croit devoir éviter une entrevue familière au milieu d'un raout. Mr. Antoine, le marchand de bas, qui est cousin de Mr. Jabot, croit le reconnaître et marche vers lui. Mr. Jabot ayant fait une habile évolution autour d'une grosse dame, le cousin Antoine le perd de vue.

Après quoi Mr. Jabot se remet en position. Mr. Jabot croit devoir s'effacer pour laisser passer le galop; d'où la basse perd le son. Le Bassier s'étant fâché, M. Jabot lui affirme qu'il est un insolent et que s'il n'était d'une classe subalterne il lui demanderait raison.

Jugeant que le temps convenable est arrivé, Mr. Jabot se dispose à danser. Mr. Jabot engage Mlle du Bocage en personne, si dit-il sa demande n'est pas trop inefficace. Mr. Jabot prélude à la danse par de gracieux propos.

Les propos étant peu goûtés, Mr. Jabot croit devoir approprier des gestes de bon goût à ses expressions choisies. Les expressions ayant peu d'effet, Mr Jabot croit devoir se renfermer dans une attitude décélant l'observation fine et la plaisanterie de bon ton. Après quoi, Mr Jabot conduit la galope avec le plus heureux succès.

Malheureusement Mr. Jabot glisse au plus beau moment. Ce qui cause du dérangement dans le reste du galop.

Mr. Jabot croit devoir dissimuler une forte douleur lombaire et rejette la faute sur la basse qui écorche la mesures. Après quoi, Mr. Jabot se remet en position. Mr. Jabot entre en relation avec Milord Félou qui lui parle bécassines.

Malheureusement le cousin Antoine qui n'a pas vu Mr. Jabot depuis 3 ans, prend ce moment pour lui sauter au cou. Mr. Jabot croit devoir affirmer au cousin Antoine qu'il se méprend grossièrement. Le cousin Antoine tombe des nues.

Après quoi, Mr. Jabot reprend ses relations avec Milord, et croit devoir plaisanter sur cet étrange individu. Mr. Jabot est présenté à Milady.

Beau moment! Mr. Jabot fait faire à Milady un tour de salle. Mr. Jabot croit devoir marquer à Milady une préférance délicate. Un lampion s'éteint et fume. Aussitôt Mr Jabot s'empresse de rémédier à cette odeur importune. -- Le galop approche.

Le galop arrive, renverse la chaise, et Mr. Jabot a le malheur de rester accroché au clou. M. Jabot est décroché par le retour du galop.

A peine relevé, Mr. Jabot est cogné par le galop à son troisième tour. L'habit de Mr. Jabot s'étant accroché à la galope, il est entraîné. Le Bassier pressant la mesure, le galop accélère prodigieusement.

Mr. Jabot est lancé par le galop dans une partie d'Echecs. Mr. Jabot a une explication très vive avec le joueur d'Echecs. Il s'ensuit qu'il lui offre satisfaction pour demain à 9 heures.

Après quoi Mr Jabot se remet en position. Mr. Jabot croit devoir parier à une table d'écarts où joue le Baron de la Canardière. Au 4ième retour du galop, Mr. Jabot croit devoir s'effacer au grand détriment du Baron et de sa partie.

Explication extrêmement vive avec le Baron. Mr. Jabot croit devoir lui demander satisfaction pour demain à 10 heures. Après quoi Mr. Jabot se distingue au quadrille.

Malheureusement Mr. Jabot termine son dernier entrechat sur le pied droit de Mme Josomby, sa danseuse, qui prend mal. Mr. Josomby prend mal la chose. -- Il montre la porte à Mr. Jabot qui croit devoir lui demander satisfaction pour demain à 11 heures.

Après quoi Mr. Jabot se remet en position. Mr. Jabot a l'avantage de retrouver Milady. Il est prié par Milord à une partie de chasse avec Mr. Dubocage pour après demain. Inestimable situation. -- J'irai si je ne suis pas mort! -- Mort? -- Trois affaires Milady! -- Que vous êtes donc imprudent! Qu'est-ce que ma vie! Mais c'est bien quelque chose. -- Je la donnerais pour ce mot, Milady!...

qui exprime l'état de son âme. Mot très heureux. Mr. Jabot est présenté à Mlle Plouplou, indigène d'infiniment d'esprit. -- Et c'est vous, Monsieur, que le galop a si fort mal traité? -- De la part des galopins, Mademoiselle, on peut s'attendre à tout. Mr. Plouplou qui a conduit la galope, trouve le mot très impoli. -- Les galopins, c'est vous petit Brimborion! -- Mr Jabot demande satisfaction pour demain à midi.

Mr Jabot conduit Milady aux rafraichissemens. Mr. Jabot fend la presse. Mots charmants, d'un sens profond. -- Ah quelle horreur que d'être pressée de la sorte! -- Pour le coup Milady, je cesse d'être partisan de la presse! Je me fais Tory.

Lord Bricbroc demande l'explication de ce mot. -- Mr. Jabot répond qu'il ne doit compte à personne de ses opinions politiques. Lord Bricbroc qui a bu du Champagne, s'emporte et tire son épée. Mr Jabot se met en garde. Milady s'enfuit. Tout s'arrange moyennant une rencontre pour demain à 1 heure.

Mr. Jabot juge à propos de prendre congé de Mme du Bocage. De retour à son hôtel, Mr. Jabot s'enivre d'agréables pensées en songeant combien il a déjà fait de chemin dans le monde. Combien la haute Société est fertile en agrémens.

Combien il a été heureux en impayables réparties. Combien Milady fut aimable et son tendre intérêt visible!!! Et cinq affaires d'honneur!!! quel début brillant! Mr. Jabot fais ses dispositions testamentaires, écrit à Milord pour qu'il lui serve de second, et au chirurgien pour qu'il se trouve prêt.

En se couchant Mr. Jabot observe combien la nature se plut à lui créer une jambe fine. Quel dommage que l'ordre social lui impose la nécessité des vêtements. Mr. Jabot répète un souvenir de quadrille. Puis un fragment de Masourke!

Mr. Jabot ayant entendu un petit bruit, s'arrête tout court. Le bruit partant de derrière, M. Jabot se retourne subitement et en voit rien. Mr. Jabot va se coucher, très décidé à changer totalement son régime dès le lendemain.

Mr. Jabot ne peut dormir que d'un oeil. Mr. Jabot rêve des airs de masourke. Mr. Jabot rêve de choses enivrantes. Mr. Jabot rêve de hauts faits en présence d'une femme adorable.

Mr. Jabot change d'oeil vers 2 heures, après nécessité. Cependant les seconds de Mr. Jabot et de ses adversaires s'assemblent de bon matin. Un premier propose le Pistolet. -- Arrêté. -- Un second, que l'on charge les armes avec deux boulettes de mie de pain, puisque l'honneur sera également satisfait. -- Arrêté comme juste et conforme à l'usage. -- Un troisième que l'on en prévienne les parties; afin de leur épargner une inquiétude inutile. -- Adopté à l'unanimité. Mr. Jabot devant tirer le dernier, essuie noblement le premier feu.

Mr. Jabot tire noblement en l'air, après quoi les témoins accourent, déclarent que l'honneur est satisfait et qu'il ne reste plus qu'à déjeuner ensemble. Mr. Jabot s'anime au Champagne; il est déclaré unaniment galant homme.

Mr. Jabot ayant satisfait cinq fois à l'honneur, est ramené chez lui un peu replet. Aussitôt Mr. Jabot, songeant à sa partie de chasse, s'occupe d'acheter une petite meute.

Les chiens sont si gentils que Mr. Jabot les trouve presque trop familiers. Aussi Mr. Jabot rentré à l'hôtel attache-t-il ses chiens au pied de son lit. Mr. Jabot s'empresse ensuite de porter chez Mr. du Bocage 15 cartes, la famille se composant de 15 personnes.

Au retour Mr. Jabot s'achète un fusil à deux coups, tout chargé. Cependant les chiens font bonne garde. Ce qui complique la migraine de la Marquise, veuve de Mirliflor, qui occupe la chambre voisine.

Mr. Jabot après s'être acheté une gibecière toute pleine, rentre chez lui où il s'occupe à dresser ses chiens en leur criant: Tayaut! Tayaut! et autres termes de chasse. Ses chiens lui paraissent pleins d'ardeur. Les chiens fatigués s'endorment. Mr. Jabot va se coucher. Il remarque avec peine que sa tournure a un peu perdu.

Ce qui le rassure, ce sont ses jambes. C'est aussi certain moelleux dans les contours, certaine grâce dans les articulations. Cependant le feu prend à sa chemise. Certaine chaleur!!... certaine flamme amoureuse!... et sympathique!...

Entendant parler de flamme amoureuse, la Marquise de Mirliflor juge qu'elle pourrait bien y être pour quelque chose. Ayant senti la chaleur au dos, Mr. Jabot fait neuf fois le tour de sa chambre en criant: Je brûle!... je brûle!!! La Marquise ne doute plus qu'elle n'ait plus inspiré une passion d'une violence extraordinaire.

Holà!! Holà!! Au feu!! au feu!! La Marquise qui entend: Hélas! Hélas! Ô feux!! ô feux!! se confirme dans son idée. Les chiens sentant l'odeur de chair grillée se raniment. Le chien de la Marquise aussi. Le feu se communique au fusil qui part.

Persuadée que c'est un suicide en sa faveur, la Marquise s'évanouit. Son chien aussi. Mr. Jabot sauve ses jours en changeant de linge. Ce qui fait plaisir à Mr. Jabot c'est que ses jambes n'ont pas souffert le moins du monde.

Cependant la fumée tire des yeux de Mr. Jabor, d'abondantes larmes. Revenue à elle, la Marquise se hasarde à jeter un coup d'oeil furtif. Elle voit son amant plein de vie et tout en larmes! Douces larmes!!! Le chien de la Marquise se hasarde à revenir à lui. Mr. Jabot s'étant écrié: Il y a de quoi périr!! La Marquise en est profondément touchée. Son chien aussi.

La Marquise extrêmement agitée, courbattue, attendrie, fléchie, se va coucher, et ne peut dormir que d'un oeil. Il vient une idée à Mr. Jabot, c'est d'ouvrir toutes les portes et fenêtres pour laisser échapper la fumée. Après quoi Mr. Jabot va se coucher. Cependant la fumée en pénétrant dans la chambre de la Marquise fait éternuer celle-ci. Les chiens qui font bonne garde s'élancent vers le bruit.

Les chiens, en s'élançant, entraînent le lit de Mr. Jabot dans la chambre de le Marquise. Après quoi ils se couchent épuisés. Et le chien de la Marquise aussi. Vers minuit, la Marquise s'étant mise à ronfler Mr. Jabot croit que c'est lui qui a de l'asthme, et se lève pour aller boire. Mr. Jabot se croyant dans sa chambre, prend sur la table de nuit de la Marquise sa veilleuse qui s'est éteinte.

Mr. Jabot a mal au coeur. Et même une faiblesse. Ayant posé la main sur l'oreille du chien de la Marquise, il se félicite d'avoir retrouvé son amadou qu'il a laissé égarer la veille. Se croyant toujours dans sa chambre, Mr. Jabot va prendre à la table de nuit de quoi avoir de la lumière. Il trouve un morceau de caramel et un flacon de pommade pour les lèvres.

Après quoi, Mr. Jabot bat briquet infructueusement. Le chien crie mais il croit que ce sont les siens. Ne pouvant avoir de la lumière par cette voie, Mr. Jabot s'habille pour en aller chercher. Il ne conçoit plus rien à sa culotte. Mr. Jabot tend à s'embrouiller. Mr. Jabot charge sa culotte d'imprécations, et jure qu'il quittera son tailleur dès le lendemain.

Cependant la Marquise se réveille au bruit, et persuadée que c'est un voleur, se lève et va furtivement dans la chambre de Mr. Jabot où elle crie: Homme généreux! au secours! un voleur!!! Entendant la voix du sexe, Mr Jabot se dégage et accourt dans sa chambre qu'il prend pour celle de la Marquise: Où est-il? Où est-il? femme adorable!! Cependant l'aubergiste se lève pour aller voir ce que signifie ce bruit. L'empoignant à l'entrée, Mr. Jabot s'écrie: Je le tiens, je l'étouffe! L'aubergiste n'y comprend rien.

Mais la marquise comprenant qu'on lui sauve la vie, retourne à son lit profondément touchée. Cependant les chiens accourant au bruit ramènent le lit dans la chambre de Mr. Jabot. Mr. Jabot poussé par une indignation galante, croit devoir jeter le voleur par la fenêtre qu'il croit être celle de la Marquise. Heureusement qu'elle donne sur une galerie. L'aubergiste va quérir le magistrat.

Guidé par le bruit des chiens, Mr. Jabot retourne à son lit, ravi d'une aventure aussi chevaleresque. S'étant rendormi, Mr. Jabot rêve qu'il sauve deux beautés mourantes des injustes persécutions d'un trop coupable oppresseur. La Marquise s'étant levée de bon matin est profondément attendrie à la vue de son libérateur. Toutefois elle ferme la porte. Son chien aussi.

Le Magistrat dresse procès verbal, et constate que le chien a l'oreille déchirée, ce qui indique des tentatives du voleur pour détruire ce gardien fidèle. 2º Il a bu la veilleuse pour éteindre ce témoin de ses méfaits, car l'obscurité convient au crime. 3º Il a dispersé la robe afin de donner le change. 4º Il a jeté l'aubergiste par la fenêtre parce qu'il redoutait sa moralité. Etc. Etc. Profonde joie de Mr. Jabot en recevant à son réveil le billet ci-contre. Noble Cavalier!
Vos maux d'hier m'ont touchée, j'ai eu pitié de vos feux, la chaleur de votre flamme a été jusqu'à moi, le bruit de votre fusil a levé mes scrupules, et je ne puis me résoudre à vous laisser périr. Devinez le reste qui me coûte trop à dire.
La Marquise Caroline Thérèse de la Franchipane, Veuve de Mirliflor.

La Marquise trouve la réponse ci-contre ambigüe. Tendre Cavalière!
Puisque votre coeur est l'asyle de l'humanité souffrante, je vous dirai que mon dos va beaucoup mieux depuis que je sais que vous l'arrozez de vos larmes; que j'ai éteint le feu en changeant de chemise; que que j'ai été désolé d'apprendre que la flamme vous ait incommodée; qu'enfin à l'heure qu'il est, loin de craindre pour mes jours, j'ai une santé de fer, que je mets à votre disposition pour vous servir. Pour le reste, il me coûte trop à deviner.
Alphonse du Jabot
...de la Franchipane ...de Mirliflor!! Deux de!!! Mr. Jabot s'enflamme. Et si j'étais un jour M. le Marquis du Jabot, de la Franchipane de Mirliflor!!!!!!! Il se met à écrire.

La Marquise qui allait s'irriter, recevant cette seconde épître, suppose que la première était en langage allégorique. Noble Dame!
Vos beaux yeux m'ont incendié la prunelle, et je brûle, pour vous, d'une flamme inextinguible. Je mets à vos jolis pieds mon nom, ma fortune et ma main, avec tous les sentimens d'un homme comme il faut, et les avantages d'un amant bien élevé. Un oui! ou je meurs consumé.
Alphonse de Jabot.
La Marquise profondément touchée, ayant crié oui!! crainte de malheur. D'un saut Mr. Jabot est à ses pieds.

Surprise de Mr. Jabot. Les trois chiens s'étant pris de querelle pendant son absence, se sont battus avec une telle voracité qu'il ne reste plus que les trois queues. Mr. Jabot saisit ce prétexte pour contremander sa partie de chasse. Mr. Jabot part dès le jour même pour s'aller marier en Beaujolais.
Fin.






[Fin de Histoire de Mr. Jabot, par Rodolphe Töpffer]